« Les territoires ne sont pas représentés, que ce soit la ruralité ou les quartiers populaires qui sont totalement ou en grande partie ignorés. L’écologie populaire, c’est s’occuper des gens, de leur quotidien, sinon on laisse la place au populisme« , estime aussi M. Rezouali.

Lire l’article complet sur le site du Dauphiné libéré.