Il faut le dire, le redire et le re-re-dire: la privation de liberté sur le fondement d’une précarité administrative qui résulte de choix politiques xénophobes est aussi absurde qu’indigne. Il faut fermer les centres de rétention pour étrangers, dont le vocable administratif ne rend pas justice à leur nature de geôles pour survivant.e.s de persécutions et de malheurs variés.