
« Ce qui nous intéresse, c’est les conséquences du quotidien qui ont un impact sur nos concitoyens », explique Mouloud Rezouali pour définir rapidement le terme d’écologie populaire. Pour lui, et ses collègues écologistes, avant de se poser la question de la gratuité des transports en commun, « il faut déjà qu’il y ait des transports ».